Pâques est par excellence la fête de l’espérance et de la joie. Mais, comme le Cardinal l’a souligné dans son homélie de Pâques : « Cette espérance et cette joie sont cependant tempérées cette année, non seulement en raison des conséquences toujours présentes de la pandémie mais aussi parce que nous sommes confrontés depuis des semaines à une guerre sur le continent européen. (…) »
« Et pourtant Pâques apporte un message de joie. Mais non pas une joie superficielle ni à bon marché. Comme si nous, chrétiens, nous vivions dans un monde à part, centrés sur nous-mêmes et aveugles face à ce qui se passe dans le monde. Comme si la foi était une affaire purement privée sans aucune pertinence pour la vie en société. Non, l’heure n’est pas à la joie insouciante. Nous œuvrons pour un monde plus humain et plus juste. Car il y a tant d’injustice, de pauvreté, la menace de famine en Afrique, tant de foyers de guerre et de violence dans le monde, tant d’abus de pouvoir, tant de souffrance et de tristesse, tant d’impuissance. »
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