C’est à nouveau Bruxelles qui est la plus mal lotie, avec 252 enfants sans l’établissement scolaire de leur choix en première année du secondaire. Voilà un début en humanités sous des auspices favorables…
Le nombre d’enfants sans établissement scolaire est plus conséquent que celui de l’an dernier, à la même période. C’est dire si le calme estival prévaut pour ces familles confrontées à l’incertitude d’une attribution administrative aléatoire.
Selon les chiffres établis, 8 enfants seraient originaires du Brabant wallon, tandis que les 30 autres seraient domiciliés dans d’autres provinces wallonnes. Comme quoi le formulaire unique d’inscription n’a pas simplifié la tâche des parents, ni rassuré les familles.
A. T.