Maman éternelle de Gaspard, Thaïs, Azylis et Arthur, Anne-Dauphine Julliand creuse le sillon du deuil et lève le voile sur l’après. Quand, pour se reconstruire, il faut entendre le bruit des vivants.
Un témoignage tout en sincérité.
Bien des lecteurs ont lu, le visage marqué par les larmes, Deux petits pas sur le sable mouillé. Jeune journaliste, Anne-Dauphine Julliand y racontait la maladie génétique de sa fille aînée, Thaïs. Puis ce fut au tour de sa seconde fille d’être atteinte…