Au cœur d’un monde qui bouge, l’Église réfléchit depuis quelques années à son rôle face à la conservation du patrimoine religieux et à l’importance de celui-ci dans son engagement sociétal d’aujourd’hui. Historiquement et après Vatican ll, elle a souvent mis de côté une partie de son patrimoine. Alors qu’elle a suscité de tout temps des créations sublimes, elle s’est peu souciée de les préserver lorsque celles-ci avaient perdu leur fonction. Conscients de ces enjeux et de ces difficultés, les évêchés francophones ont mis en place deux opérateurs différents : des services diocésains du patrimoine qui encadrent les fabriques et le Centre Interdiocésain du Patrimoine et des Arts Religieux (avec l’appui de la Région wallonne (AWaP) et de la Fédération Wallonie-Bruxelles).
Le CIPAR a maintenant trois ans ! Pour marquer l’évènement, son équipe a rédigé un rapport d’activité qui fait le bilan de son action et qui lui permet de mettre en lumière les projets qu’elle a concrétisés. Après une introduction qui remet les enjeux dans le contexte, les missions du CIPAR sont présentées : la sensibilisation à la promotion du patrimoine, la politique des inventaires du patrimoine mobilier, les modalités de conservation du patrimoine mobilier, la sécurisation des édifices et la formations des acteurs.
Ces différents points sont illustrés d’exemples concrets, de données chiffrées et d’encouragements à poursuivre ces missions pour plusieurs décennies !
Pour découvrir ce rapport d’activité et plus encore, téléchargez le sur ce lien.