Les monastères sont ancrés dans leur époque, cette époque en lien virtuel. Pour les jeunes moines, la rupture avec leur vie d’avant se situe désormais davantage dans un abandon des technologies qu’une diminution de leur confort. Conscients de cette nouvelle réalité, les responsables de monastères renforcent la présence communautaire, sans oublier, pour autant, que la vie monastique ne peut constituer un substitut de vie familiale.
Le journal « La croix » propose, dans son édition du 15 novembre, une réflexion sur ce sujet, illustrée de témoignages de moines.
La croix/at