Ils s’appellent Rodri, Tadej, Remco, et nous aurons passé une partie de l’été à nous régaler de leurs exploits. A les voir shooter, rouler, courir. Souffrir, suer, râler. Crier, briller. Couronnés !
Admettons-le : ils forcent l’admiration. Pas seulement pour les coupes et les titres remportés. Mais aussi parce que nous devinons le prix de leurs médailles. On ne peut être qu’impressionné par l’immensité des sacrifices, le poids de la discipline, la rigueur des efforts. Le choc de la solitude. Plusieurs, parmi…