Visiteuse dans un centre fermé, Yasmina Lansman évoque ces rencontres dans des espaces cadenassés. Quand l'espoir s'est enfoui, reste une immense solitude. Celle des isolés.
Depuis moins d'un an, la jeune femme se rend à Bruges toutes les semaines. Loin des distractions habituelles, elle franchit les portes du centre fermé. "En ces temps de pandémie, l'attente semble éternelle." Et pour elle, comme pour tous les autres visiteurs, "parfois il n'y a rien à faire, juste à être".
Un témoignage mis en image
Retrouvez le témoignage de la jeune femme engagée auprès des demandeurs d'asile en cliquant ici.