Le colosse n’a pas résisté à une tempête plus violente que les autres. Déraciné, le chêne est resté de longues années en forêt avant d’arriver dans l’atelier d’un artiste, Leandro Centore. Une étape avant de rejoindre Saint-Hubert et sa basilique. A grands coups de tronçonneuse d’abord, à coups minutieux de gouge ensuite, le sculpteur donne vie, à partir du tronc de ce chêne, à une statue de saint Hubert aux allures contemporaines.
« Comme toutes les belles histoires, celle-ci pourrait aussi débuter par « Il était une fois ». Il était une fois, à Saint-Hubert, des passionnés, les Hubertins, une association dont les membres ne ménagent pas leurs efforts pour amener du monde au cœur de l’Ardenne. Chaque année, ils sont des milliers à visiter la basilique, à y prier, à s’y recueillir. »
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