En marge de la 21e session du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies à Genève, un débat public international s’est penché sur le sort des minorités religieuses et l’abus de la loi sur le blasphème au Pakistan.
Au cours de son intervention, le fondateur et directeur de l’organisation «South Asia Partnership Pakistan (SAP-PK)» a estimé que « Les voix religieuses, qui font partie intégrante de la société civile, doivent rejeter le concept de citoyenneté de seconde classe et faire valoir l’égalité de tous les êtres humains dans la démocratie ». Pour y parvenir, Mohammad Tahseen estime indispensable le soutien de la communauté internationale.
La seule femme chrétienne membre du parlement pakistanais, Asiya Nasir, a également insisté sur l’inquiétude grandissante des minorités religieuses dans le pays.
Pour lire l’entièreté du communiqué publié au terme de cette session, cliquez sur http://www.oikoumene.org/en/resources/documents/wcc-commissions/international-affairs/commission-on-international-affairs-policy/communique-on-misuse-of-blasphemy-law-in-pakistan.html
COE/at