Nous pouvons tous être guidés par cette tentation : celle de ne retenir, à l’heure du grand départ, que les qualités de la personne qui s’en est allée. Et de l’auréoler de tous les superlatifs.
Pour François, nous n’y succomberons pas.
Pas seulement parce que l’histoire récente (de l’Eglise et des hommes) nous a montré que la glorification rapide des individus pouvait conduire à de terribles désillusions. Aussi parce que François a été un pape profondément humain. Et que tout…