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Dans « Que ce soit doux pour les vivants », la psychanalyste Lydia Flem nous emmène dans une introspection sur le deuil


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Dans « Que ce soit doux pour les vivants », la psychanalyste Lydia Flem nous emmène dans une introspection sur le deuil
Avec le doux deuil, "on prend conscience que la personne n’est plus là, mais que son souvenir ne s’efface pas". © CathoBel/AT
Par Angélique Tasiaux
Journaliste de CathoBel
Publié le
5 min

La vie de Lydia Flem se partage entre Paris et Bruxelles. C’est à son domicile belge, au milieu des livres, qu’elle nous reçoit dans une pièce ouverte sur le jardin. Le regard franc, la voix légère, elle parle avec douceur d’un temps que tous connaissent, souvent malgré eux: le deuil.

Psychanalyste et écrivaine, Lydia Flem a publié Comment j’ai vidé la maison de mes parents, il y a tout juste vingt ans. Ce livre a connu un grand succès et…

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Catégorie : Société

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