Racontant ses rencontres improbables au Moyen-Orient avec des religieux et des victimes de guerres, Eglantine Gabaix-Hialé recueille la légèreté et l’espérance là où on les attend le moins, comme des petits bouts d’un Dieu inconnu d’elle.
Eglantine Gabaix-Hialé, surnommée la "moniale athée indépendante" par son ami archevêque en Syrie Jacques Mourad, affirme vivre avec Dieu "dans une indifférence bienveillante (moi, indifférente, lui, probablement bienveillant)". C’est à travers ce regard sincère et décalé qu’elle évoque, par de multiples anecdotes, la foi…