Du 2 au 3 septembre 2017, le salon Retrouvailles à Liège, fête sa 26ème édition! Une manifestation qui attire entre 30.000 et 35.000 visiteurs et dont l’Eglise locale n’est pas absente.
Cela fait plus d’un quart de siècle que le monde associatif liégeois se presse le temps d’un week-end pour découvrir au salon « Retrouvailles » quelque 300 associations regroupées autour de quatre axes d’activités : l’art et la culture, le sport et les jeux, la vie associative et la solidarité et, enfin, la nature et l’environnement.
Pour l’Eglise de Liège, ce salon est aussi l’occasion de mieux faire connaître l’action des communautés catholiques de la Cité ardente et de l’ensemble du diocèse. « La démarche que nous proposons est une découverte tournée à la fois vers l’intérieur « ad intra ») et vers l’extérieur (« ad extra ») », écrit le curé-doyen de Liège, l’abbé Jean-Pierre Pire, sur le site internet du diocèse.
Répondre aux questions
Pour découvrir la démarche « ad intra », les bénévoles des paroisses et des communautés catholiques accueilleront les visiteurs avec plaisir pour répondre à toutes leurs questions: sur la foi, la formation chrétienne pour enfants, les adolescents, les jeunes, les adultes, les groupes de prière, les horaires de messes, la solidarité, baptême, le mariage et les funérailles. Mais aussi pour accueillir vos idées, vos projets, vos propositions de service… Un coin et une animation enfants sont prévus.
RCF-Liège (Radio chrétienne francophone, 93.8 FM) sera également présente pour plusieurs heures d’animation en direct, avec cette année, un stand qui lui sera spécialement dédié. Autre stand : Le circuit des collégiales vous permettra de vous mettre en contact avec tous les guides qui, bénévolement, assurent les visites des sept collégiales de la ville de Liège.
Le curé-doyen de Liège, l’abbé Jean-Pierre Pire, rappelle qu’il y a évidemment aussi toutes les autres associations, d’inspiration chrétienne ou non, qui présenteront toutes leurs activités. « Une excellente occasion, comme le dit le pape François, d’aller vers les périphéries ! Et ce, d’autant plus facilement qu’elles sont concentrées en un seul lieu ! », conclut le doyen.