Adrien, Lucien et Jules (prénoms d’emprunt) sont détenus à la prison de Marche. Dernièrement, ils ont reçu le sacrement de confirmation des mains de l’abbé Philippe Coibion, vicaire épiscopal. L’abbé Stréber et Claire-Agnès Duré de l’équipe d’aumônerie les ont préparés au sacrement. Un moment fort qu’ils partagent.
A la prison, lors de contacts avec l’aumônerie, Lucien nous a confié que, ballotté durant son enfance, il n’avait pu être confirmé. Il s’est réjoui d’apprendre qu’il était possible de recevoir ce sacrement non seulement quand on est adulte mais aussi en prison.
L’information est très vite arrivée aux oreilles d’autres détenus et plusieurs ont exprimé, eux aussi, le désir d’être confirmé. Trois ont persévéré et nous nous sommes réunis plusieurs fois, pendant le carême, pour réfléchir au sens de ce sacrement et de ses symboles pour les chrétiens et pour eux-mêmes.
Lucien, Adrien et Jules ont vécu cette préparation avec beaucoup de profondeur. Cette célébration très intense s’est déroulée lors de la messe hebdomadaire du jeudi. Et les confirmands avaient bien sûr à leurs côtés leurs parrain et marraine.
Ils ont écrit leur motivation à être confirmé avant de la partager avec l’assemblée.
»Durant mon enfance, explique Lucien, j’ai été ballotté de home en home. Mes sœurs sont toujours restées au même endroit et ont reçu le sacrement de confirmation. Moi, je n’en ai pas eu l’occasion. Aujourd’hui, j’en ai l’opportunité et je demande au Seigneur de m’envoyer son Esprit pour me guider dans ma vie de chrétien. »
L’information est très vite arrivée aux oreilles d’autres détenus et plusieurs ont exprimé, eux aussi, le désir d’être confirmé. Trois ont persévéré et nous nous sommes réunis plusieurs fois, pendant le carême, pour réfléchir au sens de ce sacrement et de ses symboles pour les chrétiens et pour eux-mêmes.
Lucien, Adrien et Jules ont vécu cette préparation avec beaucoup de profondeur. Cette célébration très intense s’est déroulée lors de la messe hebdomadaire du jeudi. Et les confirmands avaient bien sûr à leurs côtés leurs parrain et marraine.
Ils ont écrit leur motivation à être confirmé avant de la partager avec l’assemblée.
»Durant mon enfance, explique Lucien, j’ai été ballotté de home en home. Mes sœurs sont toujours restées au même endroit et ont reçu le sacrement de confirmation. Moi, je n’en ai pas eu l’occasion. Aujourd’hui, j’en ai l’opportunité et je demande au Seigneur de m’envoyer son Esprit pour me guider dans ma vie de chrétien. »
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