La semaine dernière, l’imposant président d’un important parti francophone a déclaré: « faisons de la Belgique un pays sans e-commerce, avec de vrais magasins et des villes vivantes ». Et dans la foulée, il s’est fait critiquer par à peu près tout le monde. On lui a reproché un manque d’ouverture, on lui a rappelé qu’un tas d’emplois dépendaient du commerce numérique, on lui a rétorqué que le XIXe siècle ne pouvait être un projet et qu’un… [Lire l’article]