Il y a la crise sanitaire. Puis la crise économique. S’exprimera, peut-être moins visible, la crise psychologique et sociale. Les psychologues montent au créneau. Un fameux chantier s’ouvre à eux, tous azimuts. Les témoignages se ressemblent, brutaux. Le confinement, imposé mais globalement accepté, déploie ses dérives conscientes ou beaucoup moins. « J’imagine, craint Charlotte, que chez nous, cet isolement complémentaire entraîne autant de dépressions et de suicides, autant de morts finalement que le virus proprement dit. »… [Lire l’article]