Il ne pouvait en être autrement pour l’archevêque de Kinshasa. Un homme d’Eglise sans langue de bois. Il dresse un bilan sévère et s’en prend aux politiciens véreux à l’occasion du soixantième anniversaire de l’accession du pays à l’indépendance. Il serait un exercice inutile que de vouloir faire l’herméneutique ou tout autre commentaire de l’homélie du cardinal Fridolin Ambongo, archevêque métropolitain de Kinshasa, en République démocratique du Congo. Ses mots n’ont pas de second sens…. [Lire l’article]