Hommages et intentions de prière pour Jean-Jacques Durré
Messages de condoléances reçus le 30 novembre
Bonjour
Au nom de tous les collaborateurs de notre bureau d’Aide à l’Église en Détresse BE-LUX, je présente nos sincères condoléances suite au décès inattendu le 6 novembre 2020 de votre directeur de rédaction Jean-Jacques Durré. C’est avec plaisir que je lisais chaque semaine la préface très bien écrite par lui dans votre journal hebdomadaire Dimanche.
Avec nos meilleures salutations,
Mme Dorien Van Gompel - Collaboratrice communication + Responsable des émissions hebdomadaires de l’AED sur RCF Liège
J'adresse à la famille de Jean-Jacques DURRÉ ainsi qu'à toute l'équipe de la rédaction de l'excellent journal hebdomadaire Dimanche toutes mes condoléances.
J'appréciais énormément ses Editos ainsi que ses articles qui ne manquaient pas de clarté et de vérités. Il n'avait pas sa plume en poche et il avait beaucoup de tact pour exprimer des idées qui ne devaient pas toujours plaire à tout le monde.Il fut l'un de ceux qui m'aident à approcher les mystères de la Foi et je vis dans l'Espérance de le rejoindre un jour si l'on veut bien de moi là où il repose en paix.
A DIEU Jean-Jacques et prends bien soin de toutes celles et de tous ceux que tu affectionnais particulièrement.
Jacques Voisey
Bonjour à vous chers Amis qui travaillez pour nous !
Nous communions à votre peine...
Nous-mêmes avons été très émus aussi en apprenant son décès, dans le Dimanche du 15 novembre.
Nous aimions "son éditorial, d'autres articles aussi... l'évolution du journal DIMANCHE, la variété des articles, la proximité avec l'actualité qui aide à prendre du recul. etc. MERCI !
Nous le lui avons d'ailleurs écrit de temps à autre !
Toute notre amitié à son épouse, à ses enfants, à toute votre équipe...
Et que le Seigneur vous aide à retrouver quelqu'un qui puisse venir renforcer votre équipe !
Bien fraternellement,
Jan et Rosa Vermeulen
Bonjour,
Je viens tout juste d’apprendre par votre journal le décès inopiné de Jean-Jacques Durré !
J’imagine bien votre émotion à tous, et je vous envoie mes plus vives condoléances.
Puisse sa famille, et vous mêmes, trouver le courage, dans l’espérance qui l’animait !
Philippe de Briey
Bonjour,
Le comité de l'ASBL Aida Nivelles a appris avec tristesse le décès de Monsieur Jean Jacques Durré et s'associe à votre peine.
En leur nom, je présente nos sincères condoléances à sa famille et à toute l'équipe rédactionnelle du Journal Dimanche.
Bien à vous,
Marie-Claude Dupas - Secrétaire asbl AIDA. Nivelles
Messages de condoléances reçus le 13 novembre
A l'équipe de Dimanche,
Lecteur assidu de votre hebdomadaire, je vous présente mes plus sincères condoléances à l'occasion du décès inopiné de votre directeur de la rédaction.
Je viens de relire ses deux derniers éditoriaux qui demandaient de garder l'espérance malgré tout.
Je vous souhaite de garder le cap malgré la disparition de cette personnalité et vous remercie pour votre hebdomadaire qui me donne du sens ainsi qu'à d'innombrables lecteurs parmi lesquels ma maman.
Pierre Antoine
C’est avec stupéfaction et tristesse que j’ai appris le décès de votre directeur. C’était toujours son edito que je lisais en premier. Quelle profondeur et quel témoignage de sa Foi !
Il nous disait dans son dernier article de regarder l’avenir avec confiance. C’est ce que je souhaite à l’équipe de Dimanche.
J’assure sa famille de ma prière et m’unis à votre peine.
Michelle Denayer
A Madame Durré, ses enfants et sa famille,
A la Direction de Cathobel,Chers tous,
C’est avec une grande émotion et beaucoup de tristesse que j’ai appris la mort inattendue de Monsieur Jean-Jacques Durré. En tant que fidèle lecteur de Dimanche, j’ai pu apprécier la remarquable évolution de cet hebdomadaire, fruit d’une collaboration bien réelle entre tous les rédacteurs et son directeur. Monsieur Durré a donné un souffle nouveau à ce journal, lequel nous permet de lire les événements du monde à la lumière des valeurs évangéliques. Qu’il en soit vivement remercié.
En ces moments de peine pour son épouse, ses enfants et sa famille, mais aussi pour toute la rédaction de Cathobel, je voudrais vous exprimer ma profonde sympathie. Par la pensée et la prière, je m’unis à Monsieur Durré et à tous ceux qu’il aimait. Que ces quelques mots soient pour vous l’expression de mon soutien sincère.
Bien à vous,
Jules Thélen
Je suis de tout cœur avec la famille de Jean-Jacques Durré et toute son équipe. Je ne connaissais pas ce monsieur mais j'ai toujours apprécié ses écrits.
Mais, en lisant ce que vous dites de cet homme, je me doute que son départ aussi brutal doit laisser un fameux vide dans votre équipe. Il était si humain, si chaleureux, si proche de chacun de vous. Il était un chef comme tout le monde en voudrait. Sachez que Jean-Jacques reste à vos côtés et qu'il continuera à vous inspirer au fil du temps.
Je prie pour que chacun d'entre vous poursuive sa mission sous la protection du Seigneur près duquel Jean-Jacques a trouvé la paix. Je prie aussi pour sa famille pour qu'elle trouve la force de poursuivre sa route le plus sereinement possible.
Bon courage à chacun d'entre vous. En communion de prières.
Anne Denayer.
Chère famille, chers collègues de Jean-Jacques,
Est-ce la menace du coronavirus ? Est-ce le mois de novembre avec son obscurité grandissante qui nous déprime ? Est-ce la fête encore proche de la Toussaint et du Jour des Morts ? On a l’impression que tout nous rappelle la mort…
Et voilà que j’apprends le décès brutal de Jean-Jacques. Je ne souhaite pas ajouter encore à tous les hommages que j’ai lus ces derniers jours et qui nous rappellent qu’effectivement, Jean-Jacques a été un grand homme, un grand chrétien, un grand journaliste.
Je voudrais simplement dire que je suis heureux de l’avoir connu, d’avoir pu échanger quelques fois avec lui, d’avoir été éclairé par ses écrits ou ses émissions. Et je suis sûr qu’on l’a déjà embauché pour le journal de la cour dans le Royaume des Cieux…Toutes mes condoléances et bon courage,
Ralph Schmeder, Service de Presse du diocèse de Liège et journaliste à RCF-Liège
Fidèle lecteur de Dimanche depuis longtemps, j'aimais lire l'édito et lorsque j'ai lu l'annonce, j'ai ressenti la tristesse d'un ami qui me quittait.
Chaque fois que je recevrai votre journal, je penserai à lui.
A toute l'équipe, je présente mes condoléances, certain qu'elle continuera l'œuvre commencée avec lui.
Tancré Jacques
Messages de condoléances reçus le 12 novembre
MERCI pour tous ces "Edito" si bien rédigés, avec tact et sensibilité .
C'était toujours mon premier regard sur le journal "Dimanche".
Sincères et chrétiennes condoléances à la famille et courage à toute l'équipe de la rédaction.
Un lecteur assidu
Le CAL a appris avec tristesse la disparition de Jean-Jacques Durré, figure emblématique de la presse catholique.
Parce qu’il était un homme de conviction et d’engagement, sympathique et toujours constructif, le départ soudain de Jean-Jacques Durré laisse un vide immense.
Au nom du Conseil d’administration du Centre d’Action Laïque, je vous adresse, ainsi qu’aux membres de sa famille, nos très sincères condoléances.
Véronique De Keyser - Présidente - Centre d’Action Laïque ASBL
Chers amis des Médias catholiques,
C'est avec beaucoup de stupeur et de tristesse que je viens d'apprendre la nouvelle du décès inopiné de Jean-Jacques.
Dans le cadre de la longue collaboration rédactionnelle que j'ai entretenue avec le journal "Dimanche", je n'ai pu que constater à quel point, outre ses indéniables qualités professionnelles, il était un homme d'une grande gentillesse, doté d'une réelle empathie, et dont les convictions fermement ancrées n'entravaient nullement le sens du dialogue et le respect de l'interlocuteur.
C'est incontestablement une perte énorme pour le monde catholique belge.
À sa famille et à ses proches, je présente mes condoléances les plus émues.Bien amicalement à toutes et tous,
Louis Mathoux - (Historien et journaliste)
Mon Ami, mon Complice, mon cher Jean-Jacques,
Je sais que de là-haut tu me liras. Notre amitié remonte à trois ans à peine, lorsque Clotilde Nyssens et toi-même, vous m'aviez invité sur les Antennes de la RCF Bruxelles, pour parler de mon métier d'éditeur et de mes passions. Je ne pouvais imaginer alors que cette entrevue allait voir naître entre nous une indéfectible amitié et une complicité de tous les instants qui s'entendaient, je pense, dans ses rencontres radiophoniques que nous animions chaque semaine.
Ce fut En débat, à laquelle succéda Pleins Feux. Nous y avons accueilli des personnalités de tous bords et de toutes origines quelles qu'étaient leurs convictions philosophiques et religieuses. Chrétiennes, juives, athées, agnostiques, franc-maçonnes, peu nous importait pour autant qu'elles nous permettaient de faire avancer le débat d'idées avec cet esprit de tolérance et d'ouverture qui t'ont toujours caractérisé. Bien entendu, tu avais à cœur de défendre les convictions propres à notre grande maison.Quand la lampe rouge du studio s'éteignait, tu redevenais ce formidable ami, bienveillant, généreux, partageant chaque instant de bonheur ou de tristesse. Notamment quand nous nous retrouvions autour d'une bonne table. Car oui tu adorais la vie.
Il y a deux semaines nous enregistrions ce qui allait malheureusement devenir notre ultime émission commune avec Jan De Maere, un grand expert d'art belge reconnu dans le monde entier.
L'annonce de ta mort fut un véritable coup de tonnerre dans le cœur de tous celles et ceux qui t'ont connu. Certes, ta santé était fragile et nous avions beau dire de te ménager, mais tu n'en avais cure car pour toi le devoir d'informer était bien plus fort que toute autre considération.
Tu nous as quittés soudainement au milieu d'une promenade que tu t'étais octroyée. Ton élégance, ton sourire, ton charisme continueront longtemps à nous suivre car nous savons que tu seras toujours présent à nos côtés
Merci de m'avoir donné cette chance de te connaître et en poursuivant par la voix, avec Manu Van Lier, et l'écriture ce que tu m'as offert au sein de CathoBel, j'espère que je saurai toujours me montrer à la hauteur de la confiance que tu m'as accordée.
Je t"embrasse amicalement.
Hervé Gérard
A Dieu Jean-Jacques !
Ce vendredi 6 novembre, nous avons appris avec émotion le décès de Jean-Jacques Durré, directeur de rédaction de CathoBel, et cheville ouvrière des médias catholiques en Belgique francophone. Une crise cardiaque l’a terrassé alors qu’il profitait du soleil de ce début novembre.
Jean-Jacques Durré avait intégré la rédaction des médias catholiques en 2011. Il s’était pleinement investi dans le développement du journal « Dimanche », pour le site wp-dev-cathobel.elipsys.be, au service des émissions télévisées et radiophoniques « Il était une foi » et des autres productions de CathoBel.
Il était également membre du conseil d’administration de RCF-Bruxelles, et administrateur des ASBL d’Entraide du journal « Dimanche ».
Comme représentant du diocèse au sein du conseil d’administration de CathoBel, j’ai pu apprécier les qualités tant humaines que professionnelles de Jean-Jacques. C’était un plaisir de travailler avec lui, et sa sagesse fut précieuse pour avancer dans les moments compliqués de restructuration qu’ont connus nos médias d’Eglise.
Jean-Jacques apportait son enthousiasme et sa bonne humeur dans son travail, il avait la capacité de fédérer une équipe par sa bonhomie tranquille et sa bienveillance pour ses collaborateurs. Cet esprit de communion lui tenait à cœur ! Il avait su aussi recréer de belles dynamiques de collaboration avec les services de communication des diocèses francophones.
C’était surtout un chrétien engagé et un journaliste clairvoyant, précis et sage dans son discernement. Ses éditoriaux, ouverts et mesurés, étaient appréciés de beaucoup. Jean-Jacques était un grand professionnel, attaché à journalisme de qualité ; il manquera à nos médias.
Dans son éditorial de la Toussaint, l’avant-dernier qu’il ait écrit, Jean-Jacques soulignait : « Comme croyants, notre rôle est de regarder malgré tout vers demain, avec espérance et confiance. » Des mots qui le résument bien !
Il était optimiste, et profondément habité par l’espérance, un mot qui revenait souvent sous sa plume.
Notre pensée va à sa famille, qui lui tenait tant à cœur, mais aussi à tous les collaborateurs de CathoBel, auxquels il savait être attentif. Nous leur souhaitons tous d’être habités par cette espérance si souvent présente au cœur de la pensée de Jean-Jacques.
Seigneur, notre vie est fragile et toujours menacée par la mort.
Olivier Fröhlich
Toi, tu es vivant à jamais et ton amour est inépuisable :
Que ton Esprit nous conduise tous les jours de notre vie
dans la justice et la sainteté ;
Qu’il nous donne une foi solide,
une espérance ferme
et un amour véritable les uns pour les autres.
Ainsi, nous serons vraiment tes enfants,
dans la communion de ton Eglise,
Et nous parviendrons à ton Royaume.
Par Jésus, le Christ, notre Seigneur.
(Rituel des défunts n° 198)
J’ai connu Jean-Jacques lorsque j’étais lieutenant pour la Belgique de l’Ordre Equestre du Saint-Sépulcre de Jérusalem.
Il était fidèle aux célébrations de nos investitures au mois de juin de chaque année. Nous avons entretenu des relations par e-mail. Je me souviendrai d’un homme sympathique, loyal, fidèle en amitié, coopératif. Le vide créé par sa disparition est grand. Nous prions pour le repos de son âme et pour sa famille.
Jean-Pierre Fierens - lieutenant honoraire de l’Ordre Equestre du Saint-Sépulcre de Jérusalem.
On l'aimait à le lire, toujours stimulant et profond. Que c'est triste ...
Nicolas
Messages de condoléances reçus le 11 novembre
Jean-Jacques faisait partie de ces laïcs chrétiens, libres mais loyaux, avec une capacité de discernement hors pair. Il conduisait son équipe de journalistes avec rigueur, bienveillance et confiance.
Il savait exprimer fermement le point de vue de l’Eglise sur quelques grands débats de société, entre autres sur la défense de la Vie, sur le respect des autres et sur la solidarité envers les plus fragiles, bien devant les notions de liberté individuelle absolue.
Sa plume alerte ne laissait pas place à la compromission. Il s’exprimait en Vérité.
Et son Espérance, son optimisme et sa joie de vivre prenaient le dessus sur les difficultés que la vie avait mises sur son chemin.
Je perds un ami et un exemple d’engagement chrétien de notre temps.
A-Dieu Jean-Jacques, prends bien soin de ton épouse et de tes enfants de Là-Haut.
Patrick du BOIS, Délégué épiscopal et administrateur de CathoBel.
Patrick.
Jean-Jacques Durré était un homme très bien.
Sa position toujours pondérée, prenait en compte la complexité des situations et avec un regard d'assez loin pour être ajusté.
Chaque fois que je l'ai félicité de l'un ou l'autre édito, il me répondait sympathiquement.
Je regrette beaucoup sa disparition prématurée.
Que le Seigneur de Tendresse l'accueille en son Paradis!Et qu'Il console ses proches et ses collaborateurs endeuillés.
Fr Jean-Philippe
cher.es ami.es,
Comme vous, comme tellement de personnes, j'ai été stupéfaite et consternée d'apprendre le décès de Jean-Jacques. Brutal, insupportable pour ses proches ; mystérieusement compassionnel pour lui : mourir au cours d'une promenade, en chemin...J'ai toujours bien du mal à évoquer le bilan d'une vie... Que savons-nous du secret d'un cœur, des ors et des déchirures qui parsèment le tissu d'une vie ? Quels que soient nos engagements, sommes-nous autre chose que d'humbles semeurs, qui sèment parce qu'ils ne peuvent faire autrement ? Si cela est vrai, alors oui, vraiment, Jean-Jacques a été un bon et fidèle et fécond semeur. Semeur d'une Parole qu'il avait chevillée en lui. Mais aussi un semeur qui aimait le monde, qui aimait ses frères et sœurs humains, un homme de haute fraternité et de joyeuse présence.
"Quand vous aurez fait tout ce que Dieu vous a commandé, dites-vous : nous sommes des serviteurs quelconques" (Lc 17,10). Rude parole, âpre à la bouche de vous toutes et tous qui étiez ses collègues... Et pourtant, il me semble ce soir qu'une chose demeurera absolument irremplaçable : c'est ce que Jean-Jacques était, et qui est éternel. Que ce qui a été vécu jamais ne peut être effacé... Par sa présence, Jean-Jacques a apporté à la vie de toutes celles, tous ceux qui l'ont connu, lu, croisé, quelque chose de tout à fait unique.
Pour cela, pour tout ce que tu as semé, pour ta présence habitée, merci, Jean-Jacques.
Et à sa famille, à chacune et chacun de vous qui allez reprendre, à Cathobel, son sac de semailles, j'envoie une chaude et amicale brassée de consolation et d'encouragements.
Myriam Tonus
Un excellent journaliste et écrivain. Une souffrance et une perte pour dimanche. Il a fait du bon travail courage à sa famille. En union de prières
Monique-Marie laurent
Le décès soudain de Jean-Jacques Durré nous touche en plein cœur. Chaque semaine, son éditorial nous aidait à réfléchir avec un véritable regard chrétien sur le monde et notre place d’humain dans les événements d’actualité.
Après l’avoir confié à la Lumière divine et la Vie en Plénitude offerte au-delà de notre vie terrestre, nous lui redisons notre profonde gratitude pour ce qu’il fut et ce qu’il nous partagea.
Que l’Amour sans mesure qu’il connaît désormais embrasse ses proches dans la douleur de la séparation et les remplisse d’espérance.
Monsieur Durré, nous vous avons beaucoup apprécié, merci.
Jeannine et Jean-Pierre
Merci Jean-Jacques Durré pour votre sourire, votre gentillesse et surtout pour votre dévouement à la direction de la rédaction de catho Bel.
Puisse le Seigneur vous accorder sa très grande récompense qui est le bonheur éternel.
Et moi, j'allume cette bougie pour vous accompagner dans mes prières.
À vous les membres de sa famille, je vous souhaite beaucoup de courage, dans la conviction de le rencontrer un jour à la Maison du Père.
Encore merci et à Dieu
De tout cœur,
Soeur Marie Octavie de la Providence de Champion.
Merci Jean-Jacques pour tout ce beau travail et ton engagement indéfectible pour le rayonnement du message évangélique.
François Dupont, omi – à Rhode.
Cher Jean Jacques, Cher ami et frère,
Aucun mot ne peut traduire la profondeur de ma douleur,
Aucune phrase ne peut exprimer le fond de ma tristesse,
Autour de ton décès, la mobilisation en Europe, en Belgique et en République Démocratique du Congo témoigne sans commentaire de la manière dont tu as vécu avec chacun.
Ton caractère a marqué chacun,
Ton amour pour les amis a marqué chacun,
Ton savoir-vivre a marqué chacun.
Hélas, tu nous quittes très tôt. Ainsi va la vie!
Tu resteras à jamais dans nos cœurs et dans nos pensées.
Repose en paix cher ami et frère.
Professeur Jok OGA UKELO
C’est avec beaucoup d’émotion que j’ai appris le décès de Jean-Jacques Durré.
C’était un homme de grande valeur qui osait dire « Dieu ».
J’ai découvert Jean-Jacques au début de son arrivée en 2011 quand je travaillais comme bénévole à l’accueil du centre pastoral et à la pastorale des aînés.
Le départ de Jean- Jacques doit être pour vous une énorme perte, aussi je m’associe à votre deuil ainsi que celui de sa chère famille.
Je confie toute l’équipe de Cathobel au Seigneur pour que vous puissiez continuer son œuvre.
En grande communion de prière,
Sœur Marie-Thérèse Van der Eerden
Je vous remercie cher monsieur pour vos éditoriaux emplis d’humanité , d’empathie et de juste clairvoyance.
En union de prières avec tous ceux qui vous sont chers...
Catherine Smets - de Drée
Merci à Jean-Jacques.
En union de prières avec son épouse et sa famille.
Abbé BEFF
Chers amis collaborateurs des Médias catholiques,
Comme tous les amis du journal Dimanche et du site Cathobel, j’ai été bouleversée par la nouvelle du décès imprévu de Jean-Jacques. J’entends encore sa voix au téléphone, je le vois faire les interviews …
Qu’est-ce que cela doit être pour vous qui l’avez côtoyé au jour le jour et avez travaillé dans son équipe…
A vous tous je voudrais exprimer mes condoléances et je demande à Dieu qu’il vous soutienne pour continuer à travailler ardemment dans sa ‘vigne’.
Cordialement,
Chris(tiane) Hoffmann - Mouvement des Focolari
Chers amis,
Le décès inopiné, foudroyant de votre rédacteur en chef, Jean-Jacques Durré, vous a plongés dans une grande tristesse. Je partage entièrement votre deuil, car M. Durré était un homme que j'ai beaucoup apprécié pour ses qualités humaines et professionnelles.
Je vous présente ainsi qu'à sa chère famille mes condoléances dans la foi et dans l'espérance.
Que le Seigneur accueille ce fidèle serviteur de la vérité dans sa communion éternelle.
Aloys Jousten - évêque émérite de Liège
Ayant appris le décès subit de Monsieur Jean-Jacques Durré, Eglise-Wallonie présente ses condoléances à l’équipe de Cathobel.
Avec l’espoir d’une communauté chrétienne multiple en ces attachements à l’Evangile et partageant ses expériences ainsi que sa vie ancrée en de multiples lieux de Wallonie.
Luc Maréchal, président - Eglise-Wallonie
Messages de condoléances reçus le 10 novembre
Quelle tristesse d’apprendre le décès inopiné de Monsieur Durré.
Je l’avais rencontré il y a une quinzaine d’années, il était alors journaliste free-lance et était venu spontanément proposer ses services et ses conseils (à titre gratuit, cela mérite d’être signalé) aux dirigeants de la société pour laquelle je travaillais et qui avaient été injustement malmenés dans les médias.
Monsieur Durré était une personnalité attachante, un « grand Monsieur », foncièrement honnête et bon, intelligent, délicat.
Je prie pour que les siens acceptent cet arrachement brutal et trouvent dans le souvenir de ce qu’il était la force de continuer à vivre sans lui.
Nadine de Roubaix
Je me joins à votre prière. Que c'est dur!
Jean-Marie Piron
Nous venons d'apprendre avec consternation le décès de Jean-Jacques Durré, Directeur de la rédaction du journal Dimanche.
Vous perdez sans aucun doute une "fine plume" et un journaliste de grand talent. Le vide sera difficile à combler.
Toute l'équipe de rédaction de Condr'aujourd'hui présente à l'asbl Cathobel ses condoléances émues dans ces heures particulièrement difficiles à vivre
José WARNOTTE et l'équipe de rédaction
L’EPUB adresse toutes ses condoléances à la rédaction de Cathobel ainsi qu’à la famille de Jean-Jacques Durré.
Nous nous souviendrons en particulier de son amour pour son métier et lui gardons une place dans nos prières.
Salutations cordiales,
Jean-Guillaume DeMailly - Chargé de communication - Eglise Protestante Unie de Belgique
Chère équipe de Cathobel,
C'est avec tristesse et émotion que nous avons appris le décès inopiné de Jean-Jacques Durré, votre directeur de rédaction. Nous n'osons imaginer votre chagrin et encore moins celui de sa famille. Quel choc. Quelle cruelle absence tout d’un coup ! Toutes nos pensées vont vers vous. Nous vous présentons nos chrétiennes condoléances.
Au fil des ans, il a si souvent accueilli des membres de notre équipe ou nos invités pour évoquer nos campagnes et autres actions dans vos différents médias. Pas plus tard que jeudi dernier. Toujours avec le même enthousiasme, la même bienveillance, le même professionnalisme. Il ne manquait jamais de soutenir et d’encourager les souhaits communicationnels de nos projets et analyses. Il était un journaliste de qualité, passionné de Dieu, n’ayant de cesse d’apporter une pierre à la construction d’un monde de paix et d’amour. D’une rencontre ou d’une discussion avec lui, nous en ressortions toujours motivés et un peu meilleurs ! Il nous élevait mais aussi son lectorat à un niveau exigeant de responsabilité et d’humanité. Nous lui en restons très reconnaissantes.
Il va nous manquer mais il laisse assurément un bel héritage que vous saurez honorer, nous n’en doutons pas. Bon courage à toute l'équipe pour continuer à relever sans lui maintenant, ou avec lui autrement, les défis qui ne manquent pas.
Alors que la pandémie impose des funérailles en toute intimité, c’est donc par la prière et la pensée que nous pourrons seulement lui dire adieu. Nous le ferons de tout cœur.
Prenez soin de vous.
Pour Entraide et Fraternité et Action Vivre Ensemble, Axelle Fischer, secrétaire générale Valérie Martin et Catherine Houssiau, Département Communication
Chers amis et amies des Médias catholiques,
La nouvelle du décès imprévu de Jean-Jacques Durré nous a bouleversés. Que de fois nous avons eu des contacts avec lui, par téléphone, ou en présentiel pour des interviews … Sa chaleur humaine, sa bonne humeur, sa disponibilité nous ont à chaque fois impressionnés. Nous lui sommes profondément reconnaissants de ce qu’il a fait, également en ce qui concerne les initiatives du mouvement des Focolari.
A vous tous et toutes qui vous engagez à faire retentir la voix chrétienne et catholique dans le monde des médias. Nous voudrions exprimer nos vives condoléances et nous demandons que Dieu vous donne son soutien, sa force, sa consolation, sa lumière.
Cordialement,
Colette Le Tolguénec et Ton Jongstra, Responsables du mouvement des Focolari de Belgique
Nous prions pour Lui qui le pleurez
Mais de Là-Haut il va vous protéger …
Jeanne Marie Brulard
Adieu l’ami,
Quel choc que le décès inopiné de mon ami Jean-Jacques. Nous avons travaillé ensemble pendant une douzaine d’années dans le même service (la vie des entreprises) pour le quotidien économique et financier L’Echo (L’Echo de la Bourse à l’époque). C’était un collègue très agréable, consciencieux et intelligent, dont la priorité était la fiabilité et la qualité de l’information. De cette période est née une amitié qui a duré toutes ces dernières années en dépit du fait que nos voies professionnelles s’étaient séparées.
Je me souviens surtout de ses qualités humaines, de son éternel optimisme et aussi de son légendaire sourire comme en témoigne la photo postée récemment sur Facebook avec en main son journal « Dimanche ».
Tu nous manqueras Jean-Jacques et resteras à jamais dans notre cœur.
Alphonse Pelegrin
Jean-Jacques a été pour moi le modèle d’un chrétien convaincu et actif dans sa foi.
Son engagement était total et sincère tout comme son éternel sourire que je n’oublierai pas.
Avec mes meilleures prières pour lui et pour sa famille.
Au revoir Jean-Jacques,tu vas nous manquer !
Michel LINDER - Ancien président de RCF Bruxelles
Depuis 24 heures, je n’arrive pas à y croire !
Je pense à vous, chère rédaction, à mes anciens collègues en particulier, à toutes celles et ceux qui se sentent orphelins d’une personnalité si attachante : Jean-Jacques véritable chef d’orchestre au sein de CathoBel, à la fois au four et au moulin, joyeux, positif … et tellement humain !
Longtemps je me souviendrai de son visage souriant et enthousiaste face aux nouveaux défis qu’il a relevés dès son entrée à CathoBel. Le regard, toujours nuancé d’un esprit critique, qu’il portait sur l’actualité, sa souplesse et rapidité d’écriture sur une palette étendue de sujets m’impressionnaient.
De ces années, je retiens comme des pépites à multiplier, sa qualité d’écoute, sa simplicité chaleureuse, sa joie profondément chrétienne. Merci Jean-Jacques !
A son épouse et à ses chers enfants je présente mes très sincères condoléances.
Bernadette Lennerts
Chers amis, chers collaborateurs de Dimanche et des médias catholiques,
J’apprends avec stupeur le décès de Jean-Jacques Durré, quelle tristesse.
Je sais qu’il était un directeur apprécié sur lequel on pouvait compter. J’imagine le coup dur que c’est pour vous tous et pour votre mission auprès de médias catholiques. Vraiment…
Bon courage, avec toute mon amitié,
Catherine Chevalier
Je me sens bouleversé. J'ai eu un seul contact par courriel avec Jean-Jacques Durré. Je lui avais écrit, tout récemment, lui demandant d'éviter et de faire éviter de parler de "distanciation sociale", et de recourir à l'expression: "distanciation physique".
C'est dans l'heure qu'il m'a répondu, avec grande amabilité et compréhension. Parmi les nombreux courriels que je reçois, c'est à celui de Jean-Jacques je repense souvent. En quelques mots, sa réponse m'a touché et j'y ai perçu une dimension de fraternité peu commune.
Je lui redis "merci". Merci aussi au Seigneur de nous l'avoir donné, merci à sa famille de nous l'avoir partagé.
En union sincère de prières pour lui, pour sa famille, pour ses collaborateurs.
Michel Welkenhuyzen, diacre permanent du diocèse de Liège
J’ai eu seulement quelques contacts personnels avec Jean-Jacques Durré, mais j’ai retenu sa sympathie et quelquefois je lui ai écrit pour le féliciter pour un de ses éditoriaux de Dimanche, et il m’a répondu. J’ai perçu en lui une sainteté de l’ordinaire et je crois bien que maintenant il nous regarde du Paradis
Elio Finetti
C’est avec une grande tristesse que j’ai appris ce matin le décès inopiné de Jean-Jacques Durré.
Depuis plusieurs années, nous étions en contacts suivis pour les médias catholiques et les Grandes conférences Catholiques. Nous avions noué à cette occasion des liens de grande confiance et d’amitié.
Voudriez-vous transmettre à l’épouse de Jean-Jacques, à sa famille, mais aussi à tous les collaborateurs des médias catholiques l’expression de notre profonde sympathie face au deuil qui les touche, mais aussi leur dire la ferveur de notre souvenir. Jean-Jacques restera une personnalité marquante des médias catholiques, dont il a réussi à asseoir l’image de qualité et de professionnalisme grâce à son talent, sa longue expérience dans la presse, mais aussi sa grande générosité.
Sa disparition est une grande perte pour tous ceux qui ont eu la chance de le connaître.
Nous espérons que les liens de famille et d’amitié, mais aussi l’exemple de foi que transmettait Jean-Jacques avec humanité, permettront à son épouse, à sa famille et à tous ses proches de traverser cette épreuve dans la sérénité et l’espérance.
Emmanuel Cornu - Président Grandes Conférences Catholiques
« Jean-Jacques, c’était la classe »
Vincent Delcorps
C’est la nuit. Celle qui suit l’annonce. Elle est longue et agitée. Je me bats contre ce que je ne parviens pas encore à accepter : Jean-Jacques est parti. Lors de la prochaine réunion d’équipe, il ne sera pas là. Jean-Jacques, le rédacteur en chef, le chef d’équipe ! Pas un chef fort, du genre à se croire au-dessus des autres, à prendre pour lui la lumière, à trancher sans écoute. Non, pas un chef fort comme ça. Plutôt un chef-phare. Du genre à éclairer la route, à soutenir les troupes et apaiser les doutes.
Ce qui me frappait chez Jean-Jacques, c’était cette capacité à faire confiance tout en exprimant sa reconnaissance. Procédant ainsi, il faisait naître chez l’autre le désir de devenir meilleur. Un journaliste meilleur, bien sûr. Un meilleur homme aussi. Car sa bonté, sa gentillesse et sa bienveillance irradiaient. Elles s’ancraient en profondeur, dans son goût affirmé pour l’Evangile. Jean-Jacques était au service de Dieu. Il était au service des hommes. Il était beaucoup au service, en fait.
Il faut dire qu’il était passionné. Par les gens qu’il rencontrait autant que par les causes qu’il défendait. Son ardeur, pourtant, n’empêchait pas la modération. Jean-Jacques était un homme pondéré, équilibré. Qui incarnait cette Eglise que l’on aime : ouverte, accueillante, à l’écoute, mais engagée ! Une Eglise qui parle – Jean-Jacques jouait avec les mots. Une Eglise qui agit aussi – de ce point de vue, l’homme était d’une grande justesse.
Au fond, Jean-Jacques, c’était la classe. La grande ! L’élégance, il la portait dans le geste comme dans la plume – sans parler du costume. Il avait cette délicatesse qui consiste à faire grandir l’autre sans lui rappeler sa petitesse, mais en l’accompagnant vers le haut. Doucement, la main dans le dos. En le rassurant aussi. Avec lui, on était toujours en équipe, et on se sentait fort. Sans lui, cette nuit, je suis triste. Et demain, sans lui, je me sentirai un peu seul.
Mais serons-nous jamais vraiment sans lui ?
Bonjour, J'apprends à l'instant le décès de Jean-Jacques Durré. Et j'en suis bien attristé. A son épouse et à ses enfants, je présente mes sincères condoléances et je les assure de mon union de prière. Lecteur de Dimanche, j'appréciais beaucoup les éditoriaux de Jean-Jacques. Ils étaient toujours justes et pertinents: je commençais d'ailleurs ma lecture par l'édito. Qu'il repose en paix, nous le regretterons.
Abbé Robert André
Merci, cher Jean-Jacques, d’avoir été, à la paroisse Cause de Notre-Joie de Rhode-Saint-Genèse,
Noëlle Hausman, s.c.m.
ce serviteur fidèle de la messe dominicale de 9h, si simple, si juste, si aidant à la prière,
et merci de ta disponibilité pour toute discussion ou suggestion à propos de ton cher « Dimanche ».
Entre maintenant dans la joie de ton Maître, et veille davantage encore sur les tiens.
Nous prions pour eux,
A la famille de monsieur Durré,
Je n’ai pas eu le plaisir de connaître personnellement monsieur Durré mais j’ai entendu beaucoup de bonnes choses à son propos entres autres sa grande gentillesse. Je suis responsable du service clientèle de Belgomédia qui gère les abonnement Dimanche.
J’ai été touchée par son décès inopiné.
Je vous souhaite beaucoup de courage et vous présente mes sincères condoléances.
Sincères salutations,
Viviane Philippe
Messages de condoléances reçus le 9 novembre
Bouleversée d’apprendre la triste nouvelle du départ à Dieu de Jean-Jacques, mais en même temps réconfortée de savoir que le Seigneur l’a appelé à lui un premier vendredi de mois, journée dédiée au Sacré Cœur de Jésus. Je n’avais pas de raison de croiser un jour dans ma vie Jean-Jacques, cela s’est fait parce qu’il nous a interviewé le père Edouard Marot et moi-même pour parler des merveilles du Cœur de Jésus. Je prie très fort pour l’âme de Jean-Jacques, pour sa famille et pour l’équipe de Cathobel, en ayant toute confiance que le Cœur de Jésus est là.
DSB Alicia Beauvisage
Je tiens à exprimer ma profonde sympathie à la famille et aux collaborateurs de M. Jean-Jacques Durré.
Tous ses écrits étaient habités par le souci d’apporter de la paix, de la compréhension entre tous.
J’ai été personnellement en contact une fois avec lui ; c’était pendant le premier confinement. J’avais été touché par son souci d’une réponse soignée à mon mail qui n’était qu’un parmi tous ceux qu’ils recevaient.Que ce qu’il a semé donne beaucoup de fruits dans sa famille et là où il a œuvré,
Patrick Denis, curé de la paroisse Sainte Croix Centre Meuse
Abonné depuis plusieurs années à Dimanche, j’ai toujours lu avec le plus grand des intérêts ses éditoriaux rédigés avec art de la rédaction, profondeur d’analyse et recherche de l’objectivité au-delà des différences qu’il exposait parfois avec une certaine combativité. Merci pour cela.
Jean-Pierre Parsy
Un lecteur,
C’est toujours un choc d'apprendre le décès d'un frère comme Jean-Jacques. Je me joins à l'équipe de CathoBel pour partager toutes mes sincères condoléances, à la famille et collègues et ami(e)s de notre frère Jean-Jacques.
Un fidèle auditeur et lecteur,
Didier Cratzborn
Mon chagrin est immense
Que le Seigneur l’accueille dans son Royaume de Paix, de Joie et d’AmourJean-Jacques restera pour moi un homme bienveillant et un chef attentif.
Sabine Perouse
Guetteur de l’actualité, soucieux de la vérité; n’affadissant jamais le langage de la foi.
Je ne suis qu’un simple lecteur de “Dimanche” et auditeur de Cathobel.
Philippe Bourgois
Je veux simplement dire merci à Jean-Jacques Durré et présenter mes condoléance à toute sa famille.
Ses “éditos” étaient remarquables, même si parfois je n’étais pas d’accord avec lui.
C’était un homme de conviction… BRAVO à lui.
Merci à lui pour toutes ses réflexions qui souvent m’ont obligé à me poser question.
“Quelqu’un meurt, c’est comme des pas qui s’arrêtent… Mais si c’était un départ pour un nouveau voyage?” (Auteur inconnu)
Je suis vraiment stupéfait de cette triste nouvelle.
Sébastien Belleflamme
Je m'associe de tout cœur à toute l'équipe dans votre peine.
Je n'ai jamais eu le plaisir de rencontrer Jean-Jacques. Je ne le connaissais qu'à travers sa plume et sa présentation de l'émission "Il était une foi".
Je retiens particulièrement de nombreux éditos témoignant d'une grande force de conviction, engageant ses lecteurs à prendre en compte les plus vulnérables. C'était notamment le cas pour les personnes réfugiées où son engagement était sans détour, appelant à plus de justice sociale et de fraternité. J'ai toujours apprécié qu'il apporte ainsi une réflexion véritablement évangélique, soulignant de façon concrète les enjeux déterminants pour notre société.
Je présente mes sincères condoléances à toute l'équipe de Cathobel.
Dans l'espérance qui anime nos cœurs,
"Pleure plus doucement sur le mort car il a trouvé le repos" (Ben Sira le Sage, 22,11)
Jean-Jacques nous a donc quittés.
Tout qui le fréquentait le savait de santé fragile.
Lui était, par légitime pudeur, peu disert sur ce registre touchant à l’intime.
Je l’ai toujours trouvé jovial, voire enjoué avec les interlocuteurs qu’il approchait.
Jean-Jacques était ce que l’on appelle quelqu’un d’"entier", qui fonctionnait à la confiance.
Un regard, aussi furtif soit-il, une parole sincère, suffisaient à la capter.
Une confiance offerte et jamais trahie par la suite.
Une ou deux fois sur l’année, nous partagions, forcément à (une bonne) table, quelques souvenirs -l’âge nous rapprochait- sur nos "faits d’armes" journalistiques à l'Echo qui était alors toujours… de la Bourse.
Jean-Jacques maîtrisait toujours avec finesse, tant d’années après notre collaboration à ce journal économique et financier bruxellois, toutes les arcanes des vastes mondes économique, financier et boursier.
Nos échanges roulaient aussi au gré des mets sur l’improbable devenir du Congo, immense pays si cher au cœur de Jean-Jacques.
Un jour, il me proposa d’écrire pour Dimanche où il était devenu rédacteur en chef.
Un simple regard suffit à vérifier notre foi commune.
Depuis, une collaboration rédactionnelle sans faille, empreinte de confiance mutuelle et de respect réciproque.Salut Jean-Jacques, mon ami
Hugo Leblud
Merci pour tout et à bientôt,
Jean-Jacques incarnait pour moi la bonhomie, faite de bonté du cœur et de manières simples.
Nancy Goethals
Depuis ma première rencontre avec lui, il y a tout juste deux ans, j’ai pu découvrir et apprécier un homme aimant la vie et ses proches. Sa voix, son sourire, son regard … tout respirait la bienveillance vis-à-vis de ses interlocuteurs. Il ne manquait pas de féliciter l’un ou l’autre ou toute l’équipe pour son travail et de rajouter des bulles pétillantes dès que l’occasion se présentait. Ainsi, jusqu’au moment du confinement, nous avons pu savourer bien des moments de célébration qui nous donnaient encore plus de … cœur à l’ouvrage. Cela nous donnait aussi le sentiment d’être un peu de la même famille, à partager ensemble les joies et parfois aussi les douleurs. Il affichait ce regard bienveillant du père fier de sa progéniture – tant réelle (familiale) que professionnelle.
Souriant malgré les épreuves, « notre JJ »regardait la vie avec beaucoup de douceur. Il était touché quand on lui prêtait attention et touchant par son attention aux plus petits, aux plus fragiles, aux plus discrets.
Les trop rares conversations que j’ai partagées avec lui avaient toutes un point commun : elles mettaient l’humain au centre ; comme le fait notre pape François.
A sa famille, à ses proches, à son travail, JJ donnait vraiment tout son cœur.
Puis, une promenade toute simple… et c’est par la porte de son cœur qu’il est parti, savourant sûrement la beauté de la nature et, sans doute, de la vie.
Merci, Jean-Jacques, pour ton témoignage quotidien d’humanité!
Ce jour de février 1985 où je suis entrée à la rédaction de L’Echo (de la Bourse à l’époque), les premiers mots qui m’ont accueilli ont été ceux de Jean-Jacques: « Enfin une nouvelle tête ! Ça fait 5 ans que je suis le petit nouveau ici ! »
Tout Jean-Jacques est dans cette phrase : gentillesse et joie de vivre. En l’évoquant j’entends sa voix, son rire, je vois ses yeux pétiller et son sourire s’élargir au milieu de sa barbe. Jean-Jacques était un homme rond dans tous les sens du terme, sympa, gouailleur, bon vivant. Il avait gardé un rire d’enfant et portait sur le monde un regard parfois ironique mais toujours dénué de méchanceté. Il croquait la vie avec gourmandise et prenait chaque petit bonheur comme un cadeau. C’est sans doute ce qui l’a aidé, même quand l’existence lui a été moins souriante, à ne jamais baisser les bras.
J’ai revu Jean-Jacques des années après qu’il avait quitté L’Echo, alors qu’il était devenu rédacteur en chef de CathoBel. Il n’avait pas changé. La barbe désormais grisonnante et encore un peu plus enveloppé, mais toujours le même pétillement dans le regard et le même sourire espiègle. Et toujours journaliste.Je présente à sa famille, à ses amis et à ses collègues mes plus sincères condoléances et je suis avec eux en pensée dans ces moments douloureux.
Martine Maelschalck
C'est avec stupeur que j'ai appris que JJ nous avait quittés.
Je garderai de lui le souvenir d'un homme toujours de bonne humeur, bon vivant, généreux, à l'esprit positif. Et avec le petit poilu qu'il m'a confié il y a 4 ans, je ne pourrai l'oublier ;-)
Je présente mes sincères condoléances à toute sa famille ainsi qu'à toute l'équipe de CathoBel à qui je pense beaucoup en ce moment.
Avec toute mon amitié,
Caroline Michel
De tout cœur avec toute l'équipe bouleversée par ce brusque départ.Que le Seigneur l'accueille près de lui et lui donne de reposer en paix.
En communion de prière avec vous et avec toute mon amitié.
Dominique Zeegers
J’ai malheureusement appris la triste nouvelle.
N’ayant eu que des contacts téléphoniques, je garderai de Monsieur Durré, un homme très gentil et posé, avec une attitude toujours positive et partante.
Je présente mes sincères condoléances à toute sa famille ainsi qu’à toute l’équipe Cathobel.
Leila de Wergifosse - Secrétariat Service Abonnement
… je n'ai jamais été déçue par ses articles !
Françoise Nève
Que Dieu l'accueille dans sa lumière et dans sa joie !
C’est avec tristesse que j’ai appris le décès de Jean-Jacques Durré, sincères condoléances à ses proches, ses collègues, ses amis. Que Dieu l’accueille dans son royaume de paix et de joie.
Luc Gilles
A sa famille, à ses proches, à ses collaborateurs, et à Cathobel, je présente mes condoléances émues et chrétiennes.
Une fois, j’ai rencontré ce « brave homme » sensible, souriant, compréhensif et d’un esprit profondément chrétien.
L’Evangile était son quotidien, il le vivait tout simplement, naturellement. Ses écrits transpiraient un sens de la vie, « de la vie bonne ». Il représentait un « catholicisme » vraiment universel, et son départ « A-Dieu » nous attriste, nous ses lecteurs qu’il enrichissait par le contenu varié, intéressant du « Dimanche ». Une telle personnalité sera difficile à remplacer….. tant son charisme était attachant.« A-Dieu » Jean-Jacques, une nouvelle page brillante t’attend… ...sur le seuil de Sa Maison, Notre Seigneur t’attend ! Merci, Grand Merci…
Pr Alain Lejeune - Membre de l’Académie Pontificale pour la Vie.
Je tiens à m’associer tout particulièrement à l’hommage rendu à Jean-Jacques, que j’ai eu le très grand plaisir de connaître à la paroisse de Notre-Dame Cause de Notre Joie à Rhode-saint-Genèse.
Il y était très fidèle et actif, avec sa convivialité, son dévouement sans limite. C’est aussi au chrétien convaincu que je rends hommage.
Comme Lieutenant honoraire pour la Belgique de l’Ordre équestre du saint-Sépulcre de Jérusalem, je rends hommage à un invité qui participait régulièrement à nos cérémonies, dont il ne manquait pas de rendre compte dans Dimanche.
Je pense tout spécialement à son épouse qui avait tant besoin de lui et à qui il se dévouait sans limite, ainsi qu’à ses enfants qui perdent un père affectueux et indispensable !
Enfin, la Rédaction de Cathobel perd avec Jean-Jacques un collaborateur de tout premier ordre qui avait repris une lourde fonction avec courage et succès !
Que tous soient assurés de mes prières.
François t’Kint de Roodenbeke
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