Bronzes de Thierry Papart
Méditation de Michel Teheux
Des figures élancées, à la Giacometti. Pour entraîner le passant dans un drame. Celui d’un homme. Poète d’une bonne nouvelle offerte à tous: un condamné injustement.
Mais en cela – et en cela essentiellement – il manifeste l’Autre que lui-même: l’humanité du Nazaréen est le lieu de révélation de la divinité du Sauveur. Nous faisant entrer dans le drame de ce condamné, l’histoire évoquée avec un expressionnisme retenu nous fait passer du voyeurisme du spectateur au questionnement: nous devenons acteurs et nous interrogeons: « Qui est cet homme? »
« Ecce homo » ne pourra nous laisser indemnes.