C’est le propre de la campagne : personne ne veut se mettre les citoyens (les électeurs !) à dos. Alors, quand Walter, libraire de son état, déplore qu’on n’en fait pas assez pour les indépendants, on lui dit qu’on va alléger ses charges. Et quand Mme. Haussoin, infirmière, réclame plus de moyens pour son hôpital, on l’assure que les soins de santé seront refinancés. Et quand Mr. Machin dit qu’il ne peut aller au travail sans sa voiture, on lui répond que…
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Edito: Le temps des arbitrages
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