Il fut un temps où tout était normé. La société dictait largement les conduites. Elle définissait aussi la moralité: ce qui était autorisé était le bien, ce qui ne l'était pas était le mal. C'était le règne du cadre et de la limite. Un règne très rassurant, d'autant qu'il y avait une continuité dans la norme. Les repères familiaux étaient (globalement) ceux que l'on retrouvait à l'école, qui étaient (plus ou moins) ceux qui étaient délivrés…
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Edito – Les limites d’un monde sans limites
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