Le mois de septembre est celui de la rentrée, y compris pour les responsables des universités! C’est ainsi qu’Annick Castiaux débute son mandat de rectrice à l’Université de Namur. Voilà l’occasion de s’interroger sur les enjeux de son engagement et de son implication dans une institution étroitement liée à l’histoire jésuite.
A quelques jours du lancement de la nouvelle année académique, Annick Castiaux s’est prêtée à un échange de propos. Détendue et loquace, elle enchaîne volontiers les réponses depuis son bureau, fenêtres ouvertes sur une partie des bâtiments de l’institution. Née à Enghien, la nouvelle rectrice habite à Namur depuis l’âge de 23 ans.
Que représente l’Université de Namur à vos yeux?
C’est mon Alma Mater, là où j’ai fait mes études et découvert le monde universitaire, l’enseignement comme étudiante et la recherche comme doctorante. C’est aussi l’endroit où je me suis investie comme professeur, depuis 2002, avec la volonté de contribuer à cette université et à son développement. C’est donc une institution à laquelle je tiens!
Propos recueillis par Angélique TASIAUX