Le Souffle de Vie a besoin d'aide. Une aide urgente. Depuis plus de trente ans maintenant, cette ASBL vient en aide aux femmes, aux couples qui rencontrent des difficultés au moment de la grossesse. Vous pouvez les aider à poursuivre cette mission.
Les membres sont là pour écouter, informer quand il s'agit notamment de prendre la décision de poursuivre ou pas une grossesse. Le Souffle de Vie est encore présent pour accompagner les plus démunis en offrant des vêtements, en aidant à retaper une demeure.... Les besoins sont énormes. Pour arriver à payer les dépenses de ce mois de novembre, il faut trouver plus de 18.000 euros. Et ce scénario se représentera en décembre.
Des demandes en augmentation
Le Souffle de Vie est présent dans tout le pays à travers quelques antennes. Dans le diocèse de Namur, Damien et Caroline Schwartz ne ménagent pas leurs efforts pour les provinces de Namur et de Luxembourg. Actuellement, les besoins sont particulièrement importants suite à de nombreuses demandes d'aide.
Ainsi, depuis le début du mois, l'antenne de Bruxelles a reçu huit demandes. Le 5 novembre, une maman demandait tout le nécessaire pour son bébé et pour elle. Faute de moyens, elle était arrivée à la maternité les mains vides. Jacques et Micheline Philippe responsables de l'antenne bruxelloise: ''Le 6 au soir, nous lui apportions une valise pleine de petits vêtements et pour elle, de quoi être présentable à l’hôpital.'' Au même moment, quatre autres mamans repartaient avec tout le matériel et les vêtements pour la future naissance. La situation du Souffle de Vie de Bruxelles est aujourd'hui désastreuse pour reprendre les termes de Jacques Philippe. Cette situation est le résultat, non pas d'une mauvaise gestion, mais bien du nombre toujours plus élevé d'interventions alors que les dons, eux, ne suivent pas.
Ainsi, depuis le début du mois, l'antenne de Bruxelles a reçu huit demandes. Le 5 novembre, une maman demandait tout le nécessaire pour son bébé et pour elle. Faute de moyens, elle était arrivée à la maternité les mains vides. Jacques et Micheline Philippe responsables de l'antenne bruxelloise: ''Le 6 au soir, nous lui apportions une valise pleine de petits vêtements et pour elle, de quoi être présentable à l’hôpital.'' Au même moment, quatre autres mamans repartaient avec tout le matériel et les vêtements pour la future naissance. La situation du Souffle de Vie de Bruxelles est aujourd'hui désastreuse pour reprendre les termes de Jacques Philippe. Cette situation est le résultat, non pas d'une mauvaise gestion, mais bien du nombre toujours plus élevé d'interventions alors que les dons, eux, ne suivent pas.
Le nerf de la guerre
Trouver 18.000 € peut paraître énorme.''Cette somme représente le salaire de trois personnes, les charges via le secrétariat social, les assurances, la Médecine du travail, le téléphone pour les trois antennes, l’eau, le gaz, l’électricité des différentes implantations; le mazout pour Pesche, une aide au loyer, explique Jacques Philippe. Enfin, nous devons faire paraître notre revue trimestrielle, seul lien entre toutes les composantes du Souffle de Vie et témoin du vécu de l’œuvre.'' A cette liste déjà bien longue de dépenses, il va encore falloir ajouter l'achat d'une camionnette, celle qui servait à faire les déménagements pour le Souffle de Vie étant, aujourd'hui, irréparable.
Se reconstruire
Pesche, c'est dans ce village de l'entité de Couvin que l'association a aménagé des gîtes pour permettre aux personnes qui ont vécu une fausse couche, un avortement... de prendre un peu de temps pour se ''refaire''. Le Souffle de vie programme encore, régulièrement, des eucharisties qui rassemblent les personnes endeuillées suite à la perte d'un bébé né ou qui était encore à naître. Depuis sa création, et sans aucun subside, le Souffle de Vie a soutenu plus de 5000 familles! Et pour que cela continue, il compte sur vous !
Pour savoir comment les aider, contactez l'association au 02 3759504 - info@souffledevie.be -
Titres et intertitres de Cathobel
Source : diocèse de Namur