Palavra Viva, une communauté nouvelle, s’installe à Saint-Hubert


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Palavra Viva, une communauté nouvelle, s’installe à Saint-Hubert
Par Diocèse de Namur
Publié le - Modifié le
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A la fin de ce mois de février, cinq religieuses de la communauté Palavra Viva s'installeront à Saint-Hubert dans les locaux occupés durant tant d'années par les Sœurs de Notre-Dame. Une communauté nouvelle qui a vu le jour au Brésil. Son charisme? L'évangélisation des jeunes mais aussi une attention aux familles. Palavra Viva, Parole Vivante, est déjà présente, à Mons, dans le diocèse de Tournai.

Palavra Viva est née, en 1995, au Brésil. Depuis, les membres de cette communauté nouvelle ont franchi l'Atlantique pour s'installer en France avec des maisons à Lyon, Aix-en-Provence, Avignon... Dans ces villes, la communauté a déjà récolté de nombreux fruits. Par contre, à Meaux où Palavra Viva avait aussi une maison, le travail mené n'a pas été concluant. La communauté - qui n'est pas mixte - a donc choisi de s'en aller, de s'installer ailleurs. Palavra Viva est aussi présente chez nous, en Belgique, à Mons. Et d'ici quelques jours, ce sera à la fin de ce mois de février, cinq religieuses emménageront à Saint-Hubert dans la maison qui jouxte l'école libre Saint-Hubert. Une maison longtemps occupée par les Sœurs de Notre-Dame, une congrégation fondée, il y a bien longtemps, par une Namuroise, sainte Julie Billiart. Elles ont été jusqu'à une vingtaine à vivre sur place en ayant bien sûr des contacts avec les élèves. Les deux dernières religieuses âgées respectivement de 85 et de 93 ans ont quitté Saint-Hubert en août dernier.

La plus grande simplicité

Des travaux de rénovation et de rafraîchissement sont réalisés dans la maison. Les cinq religieuses de cette communauté nouvelle - dont trois d'entre elles apprennent de manière intensive le français - vivent dans la plus grande simplicité. Elles vivent de la Providence, de la nourriture qu'elles reçoivent en don, via les Banques alimentaires... Leur spiritualité s'inspire, elle, énormément de saint François d'Assise et de sainte Thérèse de l'Enfant Jésus. Comme le premier, elles vivent dans le dénuement. Comme la seconde, elles se nourrissent de la Parole de Dieu qu'elles portent, qu'elles partagent. Les religieuses que vous croiserez notamment à Saint-Hubert ne portent pas l'habit. Elles sont en civil avec autour du cou, une simple croix frappée du ''tau'' . Une croix accrochée à une corde qui porte des nœuds. Chaque nœud correspondant à un vœu.

(lire l'intégralité de l'article sur le site du Diocèse de Namur)
Catégorie : Diocèse de Namur

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