Après la commune de Malines, c'est au tour de celle de Vilvorde de recruter une personne responsable de la coordination des mesures prises pour éviter la radicalisation des jeunes de confession musulmane. La commune flamande en périphérie de Bruxelles utilisera les 50.000 euros de subsides accordés par le SPF Intérieur pour dissuader des jeunes de partir combattre en Syrie.
Le bourgmestre de Vilvoorde, Hans Bonte, estime qu’environ 30 personnes originaires de Vilvorde sont déjà parties en Syrie. Et 20 d’entre elles (dont deux mineurs) sont, ou ont été, impliquées dans les combats.
P.G.
