L’UCL et le SeGEC demandent la révision en profondeur du projet Marcourt


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L’UCL et le SeGEC demandent la révision en profondeur du projet Marcourt
Par Pierre Granier
Journaliste de CathoBel
Publié le - Modifié le
1 min

La plate-forme composée de l’Universite catholique de Louvain et du SeGEC (Secrétariat général de l’enseignement catholique) demande instamment à ce que l’avant-projet de décret relatif au paysage de l’enseignement supérieur soit amendé en profondeur.

Dans son communiqué, elle insiste particulièrement sur la nécessité d’assouplir, voire d’abroger l’obligation de coorganisation et/ou de codiplomation pour toute nouvelle collaboration ou habilitation. Elle indique aussi que la notion d’ASBL de droit public retenue pour les pôles ne peut, à titre d’exemple, pas trouver à s’appliquer lorsque la majorité des établissements sont des personnes morales de droit privé (ASBL). Les dispositions permettant au gouvernement de se substituer aux assemblées générales des ASBL pour la détermination des statuts de celles-ci, constituent selon l'UCL et le SeGEC une ingérence directe des autorités publiques dans la détermination de leur modèle d’organisation.
Selon cette plate-forme, il est également nécessaire de clarifier les compétences respectives des pôles et des zones académiques interpôles, et de revoir les modalités de représentation des établissements d’enseignement supérieur non-universitaire au sein des instances à créer.

P.G.

Communiqué UCL-SeGEC

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