Les deux parlementaires catholiques égyptiens resteront en place, même après l’entrée en vigueur de la nouvelle Constitution, imprégnée de la charia. La décision a été prise après une rencontre réunissant les deux parlementaires, Jamil Habib et Majid Akkad, et des représentants des Eglises copte catholique et melkite au Caire. Les deux sénateurs catholiques de la chambre haute, appelés par le président Morsi, préfèrent rester en place afin d’exprimer de toutes leurs forces leur volonté de collaboration. Mais si l’évolution politique devenait contraire à la démocratie, ils abandonneraient leur mandat.
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