Michelle Martin a été accueillie par les clarisses de Malonne, en échange de menus travaux, tels que du jardinage, du repassage ou encore la confection de colis pour les plus démunis.
Participer aux vaisselles et autres tâches communautaires est une manière de prendre part à la vie pratique des lieux. Un point de vue qui n'est pas partagé par les parties civiles qui considèrent ces tâches comme du travail au noir.
En conséquence, des inspecteurs ont été chargés de vérifier dans quelles conditions Michelle Martin exerce ses activités. Le cas échéant, un travail rémunéré lui permettrait d'indemniser ses victimes, ce qu'elle ne peut faire à ce jour.
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